Nous étions à un voyage de pêche. Tandis que les pêcheurs ont poursuivi la truite avec une barque, nous avons préparé un pique-nique près de côte d’une île. Je m’ai promené avec les dames pour chercher une place convenable pour plage. Le barrage était plein et de marcher au bord était difficile. Pour être plus facile nous avons décidé de passer à travers les broussailles.

Derrière un arbre tombé, nous avons trouvé un oiseau très grand. Il était resté au milieu d’herbe et il a frappé contre nous avec son bec orange. Il ne semblait pas inoffensif, mais courageusement nous l’avons approché. L’animal n’a pas bougé, mais a commencé de grogner comme un chien. Nous étions très effrangés et nous avons contourné l’oiseau.

A midi nous avons raconté à tous les hommes notre histoire. Le collègue (qui s’intéressait d’oiseaux) a dit qu`’il n’existe pas une telle sorte d’animal. Offensé, nous avons resté le déjeuner et nous nous sommes dirigés vers la place où nous avons trouvé l’oiseau. Il n’était pas bougé. Mais avec les hommes il ne semblait pas tellement grand et terrible. Le collègue s’est approché sans d’être impressionné par le grondement. Il a attrapé l’oiseau et il a posé leur tête sous son aile. L’oiseau s’est calmé et s’est lécher. L’homme a levé et a regardé l’animal. C’était une petite cigogne qui était tombé de son nid. Sa jambe était cassée. Nous l’avons porté dans le camp. Nous avons posé une éclisse sur le jambe et nous avons bourré sa bec avec des escargots.

Content et nourri nous l’avons renvoyé à ses parents.